D'amour et de dédain.
Publié : 22 août 2018, 17:45
Je tente de noyer mes chagrins émèchés
Dans des lacs obstrués de larmes attristées,
Je voudrai oublié mes détresse passées
Sur des velours dorés, dans des draps satinés...
Nous vivions allongés sur une herbe l'été,
Après avoir dansé dans un printemps moiré;
Quand l'automne a sonné ses orages grossiers,
Couru nous réfugier aux creux d'un lit brodé.
La saison des gelées nous nous sommes aimés,
Amusés réchauffés près de la cheminée,
Nous avons tant donné à nos jeux acérés...
Que mars retrouvé nous nous sommes quittés...
Comme chaque matin je cherche ton parfum,
Sur le long traversin, dans la salle de bains...
Mais là où le chemin sépare nos destins
Il ne me reste rien qu'un zeste de dessin.
Dans mes yeux incertains de ton regard j'ai faim,
Mais si j'ai l'air serein, mon être pleure en vain
Et je brule mes mains sur les rêves malins
Qui sont restés coquins dissimulés pour rien.
22 08 2018.
Dans des lacs obstrués de larmes attristées,
Je voudrai oublié mes détresse passées
Sur des velours dorés, dans des draps satinés...
Nous vivions allongés sur une herbe l'été,
Après avoir dansé dans un printemps moiré;
Quand l'automne a sonné ses orages grossiers,
Couru nous réfugier aux creux d'un lit brodé.
La saison des gelées nous nous sommes aimés,
Amusés réchauffés près de la cheminée,
Nous avons tant donné à nos jeux acérés...
Que mars retrouvé nous nous sommes quittés...
Comme chaque matin je cherche ton parfum,
Sur le long traversin, dans la salle de bains...
Mais là où le chemin sépare nos destins
Il ne me reste rien qu'un zeste de dessin.
Dans mes yeux incertains de ton regard j'ai faim,
Mais si j'ai l'air serein, mon être pleure en vain
Et je brule mes mains sur les rêves malins
Qui sont restés coquins dissimulés pour rien.
22 08 2018.