Le Spleen de Paris

Elle avait fait ce souhait...

Elle avait fait ce souhait tout en sanglotant
Par la suite en s'armant de cet air innocent
Ell' faisait rougir les joues, pâlir les visages
Amoindrissait la tristesse, parfois les nuages

Elle avait eu ce souhait en s'abandonnant
Au ciel, aux étoiles, et au soleil brillant
Qu'aucune de toutes les âmes qu'elle aimait
Ses mots ses lignes ses poèmes n'oublierait

Elle avait eu ce souhait en considérant
Les oisillons lui murmurant un dernier chant
Les caresses du vent surfant sur ses pommettes
Ses mains comme un duvet délicat pour sa tête

Bien vu Antigone, j'apprécie ce poème écrit avec finesse
encore un peu de travail, mais je sais que tu ne peineras pas à le faire...
et si tu as besoin d'aide n'oublies pas que nous sommes tous là pour t'aider...
A plus...bonne soirée

J'aime ces mots et particulièrement ce passage :

« Qu'aucune de toutes les âmes qu'elle aimait
Ses mots, ses lignes, ses poèmes n'oublierait. »

Je me suis questionnée sur « oublierait » toutefois, je pense que tu as choisi le bon accord avec aucune.

Je te remercie Liza. J'avoue que j'ai longtemps réfléchi sur cet accord.