Re: Poésies (mont)parnassiennes
Publié : 18 février 2022, 09:44
LE DERNIER REVE
Dieu que de temps passé,! dieu que de nuits ardentes !
Que d'aurores abreuvées aux tendresses amantes !
Toute une vie bordée de rives incendiaires ,
Que d'infinis regards en son âme naguère !
Elle sommeille simplement , romantique, solitaire
Elle qui fut la princesse au cœur en bandoulière
O souvenirs si doux de l'ivresse des saisons,
En tuiles bleues d'amour posées sur sa maison !
Quand soufflent les grands vents épris de nostalgie,
Ressurgissent, émouvants les souvenirs enfouis ,
Etoiles aux mains d'amour, sur son corps, doucement,
Sous une pluie battante de tendres sentiments.
La vieillesse s'installe en douce pénitence,
Pour l'ultime chemin, la dernière échéance;
Son visage rajeuni a ce sourire bizarre,
Les voiliers de sa vie flottant dans sa mémoire.
(Daniel Girardi, septembre 2014)
Dieu que de temps passé,! dieu que de nuits ardentes !
Que d'aurores abreuvées aux tendresses amantes !
Toute une vie bordée de rives incendiaires ,
Que d'infinis regards en son âme naguère !
Elle sommeille simplement , romantique, solitaire
Elle qui fut la princesse au cœur en bandoulière
O souvenirs si doux de l'ivresse des saisons,
En tuiles bleues d'amour posées sur sa maison !
Quand soufflent les grands vents épris de nostalgie,
Ressurgissent, émouvants les souvenirs enfouis ,
Etoiles aux mains d'amour, sur son corps, doucement,
Sous une pluie battante de tendres sentiments.
La vieillesse s'installe en douce pénitence,
Pour l'ultime chemin, la dernière échéance;
Son visage rajeuni a ce sourire bizarre,
Les voiliers de sa vie flottant dans sa mémoire.
(Daniel Girardi, septembre 2014)