Habillée
Publié : 24 novembre 2019, 18:50
Habillée
N’hésite pas, habille-toi, je le sais, on te préfère vêtue, afin de laisser deviner tes contours et tes attributs. Avant de t’étendre, nue, l’homme te préfère habillée. Afin que par quelques coins découverts de ta chair, tu montres tous tes dessous. Certes, il espère mettre au clair ton jardin secret et tous tes mystères, depuis les pieds jusqu’au cou. De ses mains inexpertes, il l’avoue, il souhaite faire la découverte de tous tes atouts.
Plus les choses sont interdites, plus il souhaite avoir un avant-goût, plus les mains avancent près du paradis. L’homme est curieux, habillée, tu donnes l’envie d’explorer tes attraits, de parcourir tes frous-frous afin de découvrir, sans délai, lieux et endroits ombrés les plus secrets.
Dans ta quête des yeux reste sage et discrète, afin d’éviter le jacassage, sans l’ostentation, oublie deux boutons à ton corsage. Habille-toi, dans ces jupes serrées, taillées dans ce beau tissu élastiqué qui rétrécit dès que tu t’assieds. Couvre ta jolie silhouette de velours, avec mousseline, dentelles et toutes ces jolies choses qui aiment la lumière et disparaissent dans le contre-jour.
Plus il doit enfoncer de verrous, plus l’homme s’enflamme. Moins, il en voit, plus il devient amoureux en imaginant le galbe de ton corps de femme. Afin que l’on te désire plus encore, cache ton corps, cela maintient la flamme et l’envie plus encore.
Habille-toi, pour qu’ayant mis ton cœur à genoux, un amoureux fou, malhabile et tremblant, avec lenteur, tendrement, t’effeuille doucement, sans heurt et sans tabous. Attends ce bel astucieux qui tirera sur la ficelle pour défaire le nœud.
Le moment viendra où cet enamouré, sans rien de lui, t’avoir montré, au pied d’un lit, empli de toute sa bonne foi, le cœur en émoi, te dira : déshabille-toi !
Liza
N’hésite pas, habille-toi, je le sais, on te préfère vêtue, afin de laisser deviner tes contours et tes attributs. Avant de t’étendre, nue, l’homme te préfère habillée. Afin que par quelques coins découverts de ta chair, tu montres tous tes dessous. Certes, il espère mettre au clair ton jardin secret et tous tes mystères, depuis les pieds jusqu’au cou. De ses mains inexpertes, il l’avoue, il souhaite faire la découverte de tous tes atouts.
Plus les choses sont interdites, plus il souhaite avoir un avant-goût, plus les mains avancent près du paradis. L’homme est curieux, habillée, tu donnes l’envie d’explorer tes attraits, de parcourir tes frous-frous afin de découvrir, sans délai, lieux et endroits ombrés les plus secrets.
Dans ta quête des yeux reste sage et discrète, afin d’éviter le jacassage, sans l’ostentation, oublie deux boutons à ton corsage. Habille-toi, dans ces jupes serrées, taillées dans ce beau tissu élastiqué qui rétrécit dès que tu t’assieds. Couvre ta jolie silhouette de velours, avec mousseline, dentelles et toutes ces jolies choses qui aiment la lumière et disparaissent dans le contre-jour.
Plus il doit enfoncer de verrous, plus l’homme s’enflamme. Moins, il en voit, plus il devient amoureux en imaginant le galbe de ton corps de femme. Afin que l’on te désire plus encore, cache ton corps, cela maintient la flamme et l’envie plus encore.
Habille-toi, pour qu’ayant mis ton cœur à genoux, un amoureux fou, malhabile et tremblant, avec lenteur, tendrement, t’effeuille doucement, sans heurt et sans tabous. Attends ce bel astucieux qui tirera sur la ficelle pour défaire le nœud.
Le moment viendra où cet enamouré, sans rien de lui, t’avoir montré, au pied d’un lit, empli de toute sa bonne foi, le cœur en émoi, te dira : déshabille-toi !
Liza