Les Traces

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Dona
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Les Traces

Message par Dona »

Si vous avez le courage... voici un début de nouvelle. Je ne connais pas la fin, à peine le milieu, j'ai commencé hier soir. Ca s'appelle "Sans titre", c'est pour vous dire !...Ca doit être truffé de répétitions et sûrement de coquilles... Des fautes, il doit y en avoir. J'ai beau relire, le couper-copier-coller-déposer me réserve toujours des tas de surprises désagréables.
Mais au cas où me rendriez le service de le lire et de commenter ce qui ne va pas et/ou ce qui va bien, sachez que je tiendrai compte de vos avis et vous en serais reconnaissante. Je sais que les longs textes sont difficiles à lire à écran...



SANS TITRE ch. 1



" Un gros berger allemand dressa les oreilles dès qu'il la vit. Le chien, énorme et d'une vélocité effrayante, accourut, agressif et féroce, vers la grille.
Elle recula vivement, impressionnée. Elle s'était approchée du jardin, un grand jardin qui ceignait la vaste demeure, plus haut. Elle n'avait vu personne et pas pensé à un chien de garde de cette allure. Un berger allemand massif, brun et ocre, tout en muscles. La bête avait les yeux injectés de sang, était démontée et agacée par sa présence insistante. Ses aboiements furieux étaient assourdissants.
Le molosse était maintenant debout, les pattes grimpées sur le muret de pierre, aussi haut qu'un homme et sa gueule baveuse s'ouvrait sur ses crocs qui mordillaient parfois les barreaux de la grille pendant qu'il gémissait de rage. Sa gueule, fortement dentue, son poitrail fauve et brun délité par ses hurlements, sa haute stature faisaient de lui un animal vraiment menaçant. Elle prit peur et s'éloigna.

Pour autant, Clara resta à proximité. En tournant résolument le dos au berger allemand, elle lui fit croire qu'elle partait. En réalité, elle recula dans les broussailles qui avoisinaient le grand portail forgé et elle se tapit, à demi à genoux, derrière ce qui lui sembla être un haut genévrier. Le coeur encore battant, elle attendit que le chien cessât d'aboyer puis s'en retourne, calmé,vers les hauteurs. Lorsqu'elle le vit s'éloigner, elle écarta les branchages à hauteur de ses yeux et s'assura qu'elle pouvait revenir devant le muret surmonté de la grille à barreaux forgés que finissait un aiguillon en métal comme on en faisait autrefois. Elle se fit discrète, silencieuse, avançant le dos courbé et sans bruit afin que le chien ne pût l'apercevoir. Elle aimait les bêtes mais craignait les cabots excités et haineux qu'un maître avait dressés à dessein, pour monter la garde. Des chiens de guet, à l'affût du moindre passant, prêt à mordre et attaquer si celui-ci outrepassait ses droits. A chien de garde, maître de fouet, se dit-elle et elle méprisa déjà le propriétaire du berger allemand de cette demeure-là.

Parvenue au portail d'entrée qui avait la hauteur et la ferronnerie des anciennes arches à diligence – assez hautes pour laisser entrer un attelage- elle se tapit dans le coin droit. Un arbre le permettait bien que le tronc ne fût pas assez large pour dissimuler son vêtement : une robe bleue, de ton vif, bordée d'une ganse jaune, à l'ancienne. Elle tenta de respirer le moins fort possible et se hissa sur la pointe des pieds, les mains accrochées au tronc du frêne. Elle observa, autant qu'elle put se le permettre, la grande maison accrochée au haut d'un tertre gazonné, plantée au milieu d'un grand parc arboré. Elle ne distinguait aucun signe distinctif de présence humaine mais un curieux bruit, une sorte de frappement sec et régulier lui parvenait de loin. Personne devant la maison ni dans le grand jardin. Les nombreuses fenêtres étaient occultées par des volets méchamment peints d'un vert délavé. La couleur déteinte et son aspect vieillot témoignaient d'un manque d'entretien visible. D'ailleurs, la façade semblait plutôt terriblement défraîchie et la toiture avait l'air vermoulue par endroits.
Des yeux, elle chercha l'emplacement. Face au portail, ouest-ouest, sous un châtaignier, le huitième châtaignier à partir de l'entrée. En scrutant le jardin, elle fit le compte des frondaisons pour localiser l'endroit. De loin, elle avait du mal à distinguer l'arbre qu'elle cherchait, elle avait du mal à reconnaître les feuilles mais elle appuyait sa déduction sur les proportions généreuses des châtaigniers car elle savait - en pleine saison automnale- qu'on pouvait les reconnaître aux camaïeux de couleurs dont ils étaient parés.
Elle aurait dû prendre des jumelles. Elle aurait pu sonner mais il n'y avait rien qui ressemblât à une sonnette... Elle aurait pu appeler s'il y avait eu quelqu'un à proximité... mais il n'y avait personne et le chien lui faisait peur.

Elle sortit son carnet et consigna : « L'Oustalet », route de la Chevrière, Vendée, 14 octobre 2015.  puis elle prit son téléphone portable, tout doucement, et actionna tactilement l'appareil photo. Elle déclencha l'appareil mais en consultant le cliché, elle se rendit compte que sa position latérale l'empêchait de cadrer la maison qui n'apparaissait pas malgré la pause que Clara avait essayé de prendre en se cabrant et en avançant le plus possible, sur le côté. Avec d'infinies précautions, elle se dégagea du tronc d'arbre, fit quelques pas en prenant soin de reculer vers la route, se posta devant l'entrée, ajusta le zoom et visa la demeure.
Aussitôt et sans qu'elle le vit arriver, l'énorme berger allemand dévala le jardin et se rua sur les grilles, hurlant, terriblement menaçant. En essayant de se raisonner, Clara se dit que le portail était fermé, que le chien ne pouvait pas sortir et elle resta, face à lui, à photographier, tremblante mais déterminée. Elle agrandit le cadrage et affina la résolution de l'écran pour tenter de capturer le châtaignier qu'elle cherchait, c'était ce qu'elle était venue voir. Le chien bondissait sur les barreaux de fer, grognait et même rugissait de tout son être; une écume blanchâtre inondait sa gueule, il aboyait sans discontinuer et ses aboiements retentissaient sur la route, se démultipliant comme un écho dans toute la campagne environnante.
Clara faisait le point sur chaque cliché mais ils demeuraient tous imprécis, trop hâtifs, mal cadrés. Alors, elle avança.
Elle se mit face au grand portail, en plein milieu et recommença. Comme ce n'était pas encore assez, elle s'approcha, le plus près possible, face au chien, enragé, rendu plus agressif encore que la première fois, de plus en plus féroce voyant que le danger se rapprochait sans qu'il pût l'arrêter. Mais Clara prit la photo. Et de fureur, le chien se jeta sur le portail, une fois, deux fois, trois fois... et au moment où la jeune femme s'enfuit, morte de peur, le portail céda.
Le chien courut à toute allure et comme elle se retournait pour mesurer la distance qui la séparait de la bête, elle le vit si près d'elle qu'elle ressentit un spasme de panique douloureux ! C'est alors qu'un grand cri retentit  dans son dos :
- Denver ! Denver ! Aux pieds ! Denver !
Et quand elle tomba à terre, bouleversée de frayeur, elle distingua la silhouette d'un homme sorti du grand parc et le chien, rendu à ses pieds.
L'homme attrapa le chien, le battit de plusieurs coups, des coups violents et la bête hurla de douleur en même temps qu'elle essayait de se protéger et de tirer sur la laisse qu'on avait déjà attachée à son collier.
L'homme regarda Clara mais il lui sembla que c'était un regard mauvais, un peu comme si c'était de sa faute. Elle demeurait assisse sur la route, trop fébrile pour se relever. Elle se demanda s'il allait venir l'aider, la relever, s'excuser. Elle ne sentait pas la force de se mettre debout. Elle avait la nausée, elle aurait pu vomir tant elle avait eu peur. Elle les regardait, le chien et le maître, encore éprouvée et attendait de recouvrer un état normal pour s'en aller.
L'homme attacha le chien au frêne qui marquait le coin droit de l'entrée. Puis, d'un pas rapide, il avança vers elle.
- Ça va ?
Comme elle répondait par hochements de tête, il se proposa de l'aider à se relever et forte de cet appui, Clara put se hisser sur ses jambes.
- Plus de peur que de mal... Pas mordu ?
Il semblait l'ausculter de la tête aux pieds et marmonnait à chaque examen une sorte de « Ca va, ça va ça ». Quand elle se sentit mieux, elle le remercia.
- Merci. J'ai eu très peur. C'est votre chien ?
- Oui. Il aboie beaucoup, chien de garde. Mais pas méchant dans le fond, il fait son travail, hein ! Chien de garde.
- Oui... enfin, il a failli me sauter dessus quand même.
- Vous l'avez excité aussi. A rester devant, là. Un chien de garde, il garde sa maison. L'a cru que vous alliez rentrer. Faut pas se mettre au défi comme ça avec un chien comme ça, hein ! C'est dangereux.
- Je trouvais la maison intéressante à photographier... Je voulais juste prendre une photo.
- Et vous croyez que le chien, il sait ça ? Peut pas faire la différence lui !
- Mais... vous étiez dans le jardin ? Dans la maison ? Pour accourir aussi vite... Vous étiez dans le jardin ?
- Oui.
Il y eut un silence. Un silence qui laissait penser qu'il se sentait coupable.
Clara baissa les yeux, un peu gênée. Dans le fond, c'était à elle de justifier sa présence et son désir de photographier une propriété privée. Certains possesseurs d'un tel bien n'appréciaient pas du tout ce genre de procédé. Avec Internet et la diffusion massive de clichés personnels, on pouvait avoir des surprises.

Elle releva la tête. L'homme la regardait. C'était un homme assez âgé mais qui paraissait alerte au vu de sa stature et de la manière dont il avait rossé le chien. A sa voix aussi. C'était une voix sèche, autoritaire, au débit rapide. Mais il avait comme un accent, un accent de terroir, une sorte de parler rural qui accentuait fort certains mots et mâchait l'articulation de certains autres. Son regard, direct, semblait franc et sans détour. Comme le silence durait, et qu'il eut l'air de comprendre qu'elle avait encore du mal à parler, il demanda :
- Pourquoi une photo ? Une photo de ma maison ?
Dans d'autres circonstances, si l'interlocuteur avait été rieur, cordial et s'il eût souri, Clara aurait répondu qu'elle aimait prendre en photo les demeures de caractère ; qu'elle collectionnait ce genre de clichés pour alimenter sa passion : les grandes maisons à cachet particulier.
C'est ce qu'elle disait d'ordinaire, ne souhaitant pas intriguer ou même effrayer des personnes qu'elle ne reverrait peut-être pas.
Mais l'homme ne souriait pas. Il lui faisait face, haut sur ses jambes et musculeux des épaules. Son regard droit, qui n'avait pas encore cillé, l'intimida presque. Elle lui dit la vérité :
- Il y a eu un mort ici.
- Un mort ? Où ?
- Dans votre jardin.
- Mon jardin ?
- Oui, il y a un mort. C'est ce que je suis venu chercher. "



ps : le texte fait 9977 caractères
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Loustic
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Re: Sans titre

Message par Loustic »

J'ai de grands écrans, aucun problème pour lire.
Liza peut corriger, mais c'est plus compliqué pour elle, en ce moment elle est occupée.
Je me suis penché sur ton texte, ce n'est pas aussi désastreux que tu le prétends.
Je ne suis pas correcteur, nous échangeons nos textes avec ma femme, ce qui apporte un œil neuf.
Comment te le renvoyer, d'après Liza l'éditeur du forum efface tout, la couleur, les soulignements, les mots barré, enfin toute la correction.
Puis-je le déposer quelques part où tu pourras le reprendre ? Pas en PDF, si tu n'as pas le logiciel adapté, tu ne pourras pas le modifier.
Dernière modification par Loustic le 26 septembre 2016, 14:33, modifié 1 fois.
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Re: Sans titre

Message par Montparnasse »

Tu peux citer le texte (bouton ") et faire les modifs sur cette citation. De plus, la balise

Code : Tout sélectionner

[barre]texte barré[/barre]
fonctionne.
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Re: Sans titre

Message par Loustic »

Compliqué et ça restera un à peu près, les observation sont colorées, les corrections d’accords aussi. Tout écrasé en noir, le destinataire aura du mal à s'y retrouver. Le plus simple est de déposer un fichier Word ou Open office quelque part. Il sera directement modifiable. Maintenant, sil n'y a pas d'autre solution, je l'enverrai suivant tes indications.
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Re: Sans titre

Message par Montparnasse »

Il y a aussi des balises pour la couleur, la graisse, etc., pour la taille, petite ou grande, très petite ou très grande, et même pour l'alignement :
à gauche
centré
à droite
Si je trouve d'autres marques de formatage, je les intègrerai... ;)

Voir le code ci-dessous :

Code : Tout sélectionner

Il y a aussi des balises pour la [color=#BF0000]couleur[/color], la [b]graisse[/b], etc., pour la taille, [size=85]petite[/size] ou [size=150]grande[/size], [size=50]très petite[/size] ou [size=200]très grande[/size], et même pour l'alignement :

[align=left]à gauche[/align]

[align=center]centré[/align]

[align=right]à droite[/align]

[color=#00BF00]Si je trouve d'autres marques de formatage, je les intègrerai...[/color]
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Re: Sans titre

Message par Loustic »

Là, c'est pour moi que cela devient compliqué. Liza te l'enverra sur ton courriel, tu jugeras.
C'est balises sont parfaites, pour de nombreuses modifications elles deviennent un casse-tête.
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Re: Sans titre

Message par Dona »

Loustic a écrit :J'ai de grands écrans, aucun problème pour lire.
Liza peut corriger, mais c'est plus compliqué pour elle, en ce moment elle est occupée.
Je me suis penché sur ton texte, ce n'est pas aussi désastreux que tu le prétends.
Je ne suis pas correcteur, nous échangeons nos textes avec ma femme, ce qui apporte un œil neuf.
Comment te le renvoyer, d'après Liza l'éditeur du forum efface tout, la couleur, les soulignements, les mots barré, enfin toute la correction.
Puis-je le déposer quelques part où tu pourras le reprendre ? Pas en PDF, si tu n'as pas le logiciel adapté, tu ne pourras pas le modifier.

Eh bien, je ne vois qu'une solution : il faut que je t'envoie mon adresse mail par mp :)

Merci pour ce service ! Je suis bien contente! Je n'oserais pas te solliciter pour les 37 734 signes qui suivent ce premier chapitre... Sauf si tu me le demandes! ;) :mrgreen:
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Liza
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Re: Sans titre

Message par Liza »

Rigolade, amuse-gueule ! Il vient d'en terminer 563 280.
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Re: Sans titre

Message par Dona »

Merci Loustic en tout cas ! J'ai déjà corrigé le premier chapitre grâce à toi ! :)


Seulement voilà : arrivée à 77 23 caractères, je relis et paf ! une bille grosse comme ma maison, un vrai boulet pour tout dire... Je vous explique.

Un de mes personnages souhaite passer de faux appels pour faire croire croire qu'elle a des contacts. Or, la personne chez qui elle est, remarque qu'on n'y a pas de réseau. La fille ne put donc pas téléphoner de son portable s'il n'y a pas de réseau... Or, comment peut-elle faire pour feindre de téléphoner s'il 'y a pas de réseau et que l'autre le sait ?

Donc... il lui ordonne d'appeler de son fixe.

Oui, mais ça change tout le texte...

C'est possible quand même, ça, que le réseau soit alternatif, qu'on puisse appeler une fois de temps mais pas tout le temps... à la campagne, loin des villes, ça arrive hein?

Autre question de novice : le téléphone portable est-il en relation avec la diode internet ? Je veux dire, lorsque le machin clignote vert, cela veut-il dire qu'il y a du réseau ou cela n'a-t-il rien à voir ?

Z'avez compris ma question ? :mrgreen:

Dona, confuse... :rouge:


PS: autre... Comment appelle-t-on le machin qui ferme une fenêtre en s'enfonçant dans un trou ? Est-ce une fenêtre à croisée ?
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Re: Sans titre

Message par Liza »

Le réseau intermittent, cela existe. Parfois on ne reçoit que par temps clair et à certains endroits précis. Les gens qui sont abonnés à SFR, s'ils viennent voir Lou, ils doivent monter dans la seconde partie du grenier pour téléphoner, même dans la première partie il n'y a pas de signal. Avec notre opérateur, cela fonctionne partout. Un éloignement du relais, dit Lou.

Pour la diode verte, je ne sais pas. À mon avis internet et les réseaux GSM sont des choses différentes, maintenant, il y a bien des spécialistes de ce genre de choses sur le forum qui te renseigneront mieux que moi.
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