Le Spleen de Paris

Murs, ville, Et port, Asile De mort, Mer grise Où brise La brise, Tout dort. Dans la plaine Naît un bruit. C'est l'haleine De la nuit. Elle brame Comme une âme Qu'une flamme Toujours suit ! La voix plus haute Semble un grelot. D'un nain qui saute C'est le galop. Il fuit, s'élance, Puis en cadence Su...

On se tient face à face Le silence noie nos voix Le vent gelé nous glace Jusqu'au bout de nos doigts. Tu es statue de cire Dont seuls les yeux s'animent Où je vois que se mirent De si profonds abîmes. Plus de mots ni de gestes Plus rien à dire ou faire Entre nous il ne reste Que la douleur à taire. ...

Merci
Et oui, ça m'intéresserait beaucoup

Merci beaucoup
Ça me touche vraiment.

Merci Liza

Hey, je savais pas trop où poster ça, vu qu'il n'y a pas de section théâtre, mais on va dire qu'il s'agit d'un récit découpé en répliques lol C'est une unique scène écrite dans le cadre d'un projet à l'atelier d'écriture du conservatoire, qui consiste à écrire des scènes liées entre elles par le lie...

Ah pardon j'ai eu une très longue absence et je n'ai pas du tout fait attention à ton commentaire

Merci beaucoup en tout cas^^

Et non, je n'ai pas pensé à ces vers car je ne connais pas ce poème (alors que pourtant j'adore Rimbaud)

Merci Liza, je suis contente qu'il te plaise ^^

En ces heures où le soleil s'éveillait à peine, Quand le ciel s'étoile de cotons chatoyants, J'ai quitté ma maison pour rejoindre la plaine, Pour contempler de mes yeux le monde éclatant. Déjà les oiseaux joyeusement gazouillaient D'une nuée compacte, envolée aguerrie; Et les lièvres et les daims pr...

Tout frais d'aujourd'hui