Au lit
Publié : 22 octobre 2016, 11:10
Dormir à deux : un cauchemar ?
Ou un moment privilégié dans le couple?
Soixante-dix pour cent des Français seraient incommodés par leur voisin de lit. Soixante-quinze pour cent des femmes et cinquante-sept pour cent des hommes le reconnaissent.
S’endormir dans les bras l’un de l’autre est un moment privilégié où le couple peut se retrouver, discuter, se câliner, se réchauffer. Toutefois, cette proximité peut générer gêne, inconfort, mauvais sommeil, voire insomnie. Les ronflements sont la première cause de ce trouble. Plus de la moitié des foyers français (57 %) comptent un ronfleur, les hommes étant les plus touchés. Un ronfleur peut produire un bruit égal à 90 décibels. Or, selon l’OMS, la limite de tolérance pour ne pas perturber le sommeil de l’autre est de 30 décibels. Par ailleurs, 43 % des femmes estiment que leur conjoint prend trop de place et 55 % qu’il bouge trop. Ne parlons pas de ceux qui ont des horaires décalés, c’est un autre sujet.
Les conséquences : Elles ne sont pas anodines : d’après une étude sérieuse, le lendemain, 61 % des non-ronfleurs souffrent d’irritabilité et 47 % manquent d’énergie.
Solutions : Faire chambre à part ! Où optez pour un lit plus grand avec matelas et sommiers distincts, avec chacun sa couette pour la place et le confort. Pour le bruit, tester les bouchons d’oreilles.
Ou un moment privilégié dans le couple?
Soixante-dix pour cent des Français seraient incommodés par leur voisin de lit. Soixante-quinze pour cent des femmes et cinquante-sept pour cent des hommes le reconnaissent.
S’endormir dans les bras l’un de l’autre est un moment privilégié où le couple peut se retrouver, discuter, se câliner, se réchauffer. Toutefois, cette proximité peut générer gêne, inconfort, mauvais sommeil, voire insomnie. Les ronflements sont la première cause de ce trouble. Plus de la moitié des foyers français (57 %) comptent un ronfleur, les hommes étant les plus touchés. Un ronfleur peut produire un bruit égal à 90 décibels. Or, selon l’OMS, la limite de tolérance pour ne pas perturber le sommeil de l’autre est de 30 décibels. Par ailleurs, 43 % des femmes estiment que leur conjoint prend trop de place et 55 % qu’il bouge trop. Ne parlons pas de ceux qui ont des horaires décalés, c’est un autre sujet.
Les conséquences : Elles ne sont pas anodines : d’après une étude sérieuse, le lendemain, 61 % des non-ronfleurs souffrent d’irritabilité et 47 % manquent d’énergie.
Solutions : Faire chambre à part ! Où optez pour un lit plus grand avec matelas et sommiers distincts, avec chacun sa couette pour la place et le confort. Pour le bruit, tester les bouchons d’oreilles.